# 670 Pilgrims

Invité : Pilgrims
Album : Thee Oh Sees – Mutilat

Mardi 19 Mai 2015

Thee Oh Sees : Lupine Ossuary
Thee Oh Sees : Poor Queen
Thee Oh Sees : Rogue Planet
Lo Pailhais : Du nouveau
Pilgrims : The End Of Time
Pilgrims : Wonky Town
Muse : Stockolm Syndrome
Jeanne Cherhal : J’ai faim
Pilgrims : Corridors
Pilgrims : Sympathy For The Devil (The Rolling Stones Cover)
Pilgrims : Falcon Age
B.B. King : Rock Me Bab
Thee Oh Sees : Web

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Contact :
Pilgrims

pilgrimswood@gmail.com
https://soundcloud.com/pilgrims-wood

Lo Pailhais
lo@pailhes.com
0689082766
http://pailhes.bandcamp.com/

Les PodCast :
Pt I : www.wat.tv/audio/670-pilgrims-pt-7e2t3_2jryb_.html
Pt II :  www.wat.tv/audio/670-pilgrims-pt-ii-7e2s7_2jryb_.html
Ou Ici : http://agoracotedazur.fr/category/loreille-qui-gratte/

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Les Vidéos :

Gilbert Taurel à propos de Thee Oh Sees : https://youtu.be/q514_Q83XCM
Le texte de la chronique sur Thee Oh sees est disponible ici : http://tmblr.co/ZFA7bx1lLHHAQ
Vus et Entendus : Warm Soda &  Sir Richard Bishop : https://youtu.be/ojRKJNjozh0
Sir Richard Bishop : extrait + chronique du concert du Dojo, Nice  (Le 17.05.15) https://youtu.be/R2K2uHDAyiQ
Gilbert Taurel à propos de Lo Pailhais https://youtu.be/sO5qYTzKLqY
Pilgrims : Wonky Town https://youtu.be/3i2obGXtGPs
Jeanne Cherhal : Le Broc le 18 Avril 2015 (Par Laurane Melzer) https://youtu.be/MrRnJhFGgrU
Le texte de la chronique de Jeanne Cherhal est disponible ici http://tmblr.co/ZFA7bx1lLJRBd
Les annonces de concert https://youtu.be/g5e5dG-_D0M
Pilgrims : Corridors https://youtu.be/honK8KvlxLo
Pilgrims :  Sympathy For The Devil (Cover The Rolling Stones) https://youtu.be/7m7i0iDJVt8
Pilgrims :  Falcon Age https://youtu.be/R1PvyHMOIJw
Hommage à B.B.King https://youtu.be/aK1gA3azkSU
Le texte de la chronique sur B.B. King est disponible ici : http://tmblr.co/ZFA7bx1lLIC2J
Pilgrims sur l’Iles déserte https://youtu.be/ziHttbWX034

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L’Ile Déserte :
Cédric :

Livre  The account of a initiation ( l’histoire d’une initiation.)
Film : Afro Samurai
CD : Blood sugar sex magic : Red hot chili peppers
Valentin :
Livre : Une étude en rouge – Conan Doyle
Film : Inception – Christopher Nolan
CD : Nevermind – Nirvana
Julien :
Livre : Musher – José Giovani
Film : Inception – Christopher Nolan
CD : So it’s like that – Joe Bonamassa 

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Jeanne Cherhal : Le Broc le 18 Avril 2015

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Un soir d’hiver à la sortie d’un concert de la salle de spectacle du Broc que le monde entier nous envie.
J’apprends par la maire de notre village (que le monde entier nous envie) la programmation de Jeanne Cherhal.
Hein ?  Quoi ? Comment ? Quand ? La date ????
C’est pour le 18 Avril, je m’empresse donc d’écouter son dernier album.
Ben oui, je n’avais plus beaucoup de temps pour  être incollable sur les paroles le soir du concert !!
Du coup pour faire d’une pierre deux coups, me voilà partie à  écouter réécouter et éplucher tous ses albums… ayé suis amoureuse.
La salle du Broc peut accueillir 187 personnes assises et ce jour-là la salle était comble.
Ambiance studieuse ce soir-là, du moins au début.
21h, le rideau s’ouvre,  je découvre une très belle femme habillée de blanc rouge aux lèvres  assise au  piano. En face d’elle, ses compagnons de tournée : un batteur et deux guitaristes.
Un décor intimiste, juste quelques projecteurs braqués en direction d’une  toile blanche donnant l’impression que les ombres jouent avec les musiciens.
Plus un bruit… soudain la musique commence par le titre  « J’ai faim » le ton est donné
La première partie du concert est très rythmée. Les premiers titres sont chantés  au piano, elle se donne un malin plaisir à jouer à croiser et décroiser ses jambes.
Dans un élan d’énergie, elle se lève, se place devant le micro, commence à danser en prenant  soin d’avoir un geste affectif pour chacun des musiciens  et s’amuse avec son piano en jouant à l’envers !!
Ses chansons taquinent un chant déluré et des textes enchanteurs comme cette magie qui opère quand elle nous fait partager ses émotions entre deux chansons.
Elle chante l’amour de la première à la dernière chanson. Un amour ardent, haletant, rebondissant passionnel et passionnant.
Au terme du concert, une partie beaucoup plus douce, calme et profonde. Elle  raconte la femme qu’elle est aujourd’hui dans ses contradictions ses envies, robuste et fragile à la fois, Pétillante avec beaucoup de légèreté,  Une véritable classe.
Je n’ai plus qu’une chose à dire : Jeanne continue à écrire des chansons ou on s’y retrouve entièrement !  

Laurane Melzer (Article et photo)

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Adieu Mr B.B.King

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Pour illustrer cet adieu, j’ai choisi le titre “Rock Me Baby” qu’il a créé en 1964… mais comme bien des blues ces titres sont des adaptations et reprises d’autres bluesmen ou venant de la tradition chantée du blues. Rock me baby est basée sur “Rockin ‘et Rollin’”, une chanson enregistrée par Lil ‘Son Jackson en 1950
B. B. King (pour Blues Boy), de son vrai nom Riley B. King, né en 1925 dans le Mississippi comme presque tous les Bluesmen  – Il y eu d’autres « king » pour le blues je citerai Albert King et Freddie King par exemple et Ben E King disparu récemment lui aussi, mais plus dans le style R’n’Blues
Dans son enfance il chante dans les églises, bien sûr …Et avant 1950 il rencontre à Memphis, Bukka White et T bone Walker et là il est conquis et décide d’avoir sa 1ere guitare (on dit qu’il l’a volée)
La plupart de ses premiers enregistrements (en 78 tours : il n’y avait pas encore de microsillons) sont produits par Sam Phillips, futur créateur du célébrissime label Sun.
Après avoir constitué son orchestre et son propre label d’édition de disque il signe, en un demi-siècle, quantité de titres repris maintes fois par à peu près tous les artistes se réclamant du blues et du rock.
De 1951 à 1985, B. B. King apparait 74 fois dans les classements R&B du Billboard.
En 2010, il participe à Chicago au Crossroads Guitar Festival, organisé par Eric Clapton. En 2011 il joue au Grand Rex, à Paris, ainsi que le 2 et le 3 juillet, avec Carlos Santana, au Montreux Jazz Festival
Ce seront ses ultimes apparitions sur scène… il avait plus de 85 ans
Je continuerai à passer ses disques, avec un plaisir absolu, aussi longtemps que possible.

Gil Tau

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Thee oh sees : Mutilator Defeated At Last

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Thee Oh Sees nous avait enthousiasmés l’an dernier avec leur album Drop , et avouons humblement qu’ici à l’OQG nous découvrions un peu ce groupe, comme quoi nul n’est prophète en son pays…Et là en 2015 ils remettent ça avec Mutilator Defeated At Last ! Entre temps, bien sûr, on a un peu gratté, et T O S c’est qui exactement ? Thee Oh Sees c’est avant tout le guitariste et multi-instrumentiste John Dwyer, un musicien de la scène punk garage californienne dès les années 1990…mais avec 3-4 musiciens fidèles qui gravitent là.
John Dwyer sort 4 album entre 2003 et 2005 avec un groupe appelé O C S (Orange County Sound), puis 12 albums, excusez du peu, de 2006 à ce jour  sous le nom de Thee Oh Sees, mais Dwyer a participé à une bonne dizaine d’autres groupes : quand même !
Thee Oh Sees sort donc cette semaine son neuvième album (vraiment) studio, Mutilator Defeated At Last, produit par Chris Woodhouse et John Golden ( qui ont produit Sonic Youth, Pearl Jam, etc…)
John Dwyer est donc effectivement, l’un des noms les plus prolifiques de la scène Rock actuelle, un de ceux dont nous parlerons peut être un jour à nos petits enfants.
À bien des égards, la musique de Mutilator Defeated At Last est un retour aux sources. Thee Oh Sees avaient officié dans ce même registre à l’occasion de leur album Carrion Crawler en 2011 puis avaient opté pour un son plus psychédélique plus pop pour les 3 suivants.
Les titres de Mutilator Defeated At Last sont du niveau de “Carrion Crawler” qui était leur meilleur album à mon avis. Le son de Mutilator Defeated At Last est aride, brut, rêche. Mais Thee Oh Sees c’est surtout un vrai groupe de scène
Le thème, très prisé dans le monde du rock ces temps ci, nous invite à une relecture de la Bible qui cède une place à Satan comme maître des lieux…Version qui veut prouver que Dieu n’existe pas. Un programme réjouissant s’il en est !

Il est par ailleurs notable que l’écoute de cet album ne nous évoque pas une référence musicale à chaque titre. C’est un nouveau style de rock’n’roll très innovant tout simplement. Je citerai les Inrocks : « véritable machine de guerre scénique »
Je vous invite donc à vous rendre à leurs concerts et à savourer en attendant, pas seulement l’écoute de ce dernier opus, mais aussi des 2 albums précédents cité ici même.

Gil Tau

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Parlor Snakes

Le Volume – Nice Volume le 24 avril 2015

Depuis quelques années déjà, Parlor Snakes anime les soirées rock garage Parisiennes. Autour d’Eugénie, leadeuse géniale il y a Peter, gratteux, Yu Jim (drum)et Severin (bass)
Parlor Snakes ( beaux-parleurs ) attache une grande importance à l’esthétisme. Le résultat sur scène est un mélange de brutalité et de sensualité, avec des influences partant du blues, au rockabilly des Cramps, et le punk de Patti Smith. Les titres s’enchainent, intenses grâce à la voix d’Eugénie. On peut même y voir là, une énergie façon Blondie

En ouverture de l’album,“We Are The Moon” nous prouve que les Parlor Snakes sont bien présents pour balancer la musique. Le son concocté ici par Matt Verta-Ray (acolyte de Jon Spencer) dans son studio new-yorkais, colle parfaitement à la personnalité du groupe. Peter abuse de son vibrato pour installer une ambiance très rock ‘n’ roll sixties.

Dans ce nouvel opus éponyme, on retrouve bien sûr le gros son des influences garage très assumées. On pourra citer “Watch Me Live” qui a décidément une belle allure de single pour porter les Parlor Snakes sur le devant de la scène. C’est du bon rock, super accrocheur. Y en a même qui diraient : un peu « pop – rock » tellement ce refrain nous rentre dans le crâne dès la première écoute. Cerise sur le gâteau, le morceau est « livré » avec un clip des plus sympathiques qui lèvera tout doute possible : les Parlor Snakes sont complètement barrés.

Cette fois-ci, les Parlor Snakes ont mis les petits plats dans les grands. On sent que le groupe s’est aguerri pendant ces dernières années sur la route à « ouvrir » pour les plus grands. En travaillant avec Matt Verta-Ray et Jon Spencer, on gagne forcement en maturité !
C’est un retour aux sources, cet album éponyme, enregistré tout en analogique, (et vinyle 30 cm de rigueur, s’il vous plait) réouvre donc une nouvelle ère. Bienvenue chez Parlor Snakes. C’est du très très bon !!!

Gilbert Taurel 

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Kid Francescoli

Crossover Festival

HiBeach – Nice le 09 mai 2015

Un samedi soir à Vence… « Allo Simon, que penses tu du concert de Kid F ? »
Une heure après, un SMS : « c ok,  mais faut y aller tout de suite car c’est à 20h »
Et voilà comment on se retrouve sur la plage au HiBeach, dans le cadre du festival Crossover, à siroter  une bière en bonne compagnie en attendant « le » concert (qui débutera finalement à 21 heures ce qui était préférable à mon avis). Deux petits mots avec Mathieu Hocine (le Kid) qui nous a dit apprécier qu’on l’ai programmé et présenté à l’OQG la semaine précédente…merci à lui.

Au milieu de remuants platinistes, nous étions là surtout pour Kid F. Le temps d’installer les claviers de Mathieu et Julia et la batterie de Gabriel ils démarrent leur set et le charme opère immédiatement.
Que c’est bon de retrouver ces titres de leur dernier album « With Julia ». Ils nous peignent une histoire d’amour en touches synthétiques délicates et vibrantes et l’on est transporté par ce voyage aux accents mélangés d’Italie de France et d’Amérique. Quand on les voit sur scène on est frappé par l’esthétisme et la cohérence du set et avec maintenant, un petit plus dans ce groove électro qui fait danser le public. Excellent !
« With Julia » a failli ne jamais voir le jour… Mathieu dit : « C’est une histoire si intime… mais j’étais content des morceaux, alors je me suis dit qu’il fallait l’assumer, ne rien cacher du tout… Maintenant, je suis en paix. »
Nous avons particulièrement apprécié ce concert. Le public, qui a toujours raison, en redemandait. Très belle soirée…Faites vous plaisir achetez ce disque…et venez aux concerts !

GilTau

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A propos de Kid Francescoli en vidéo : https://youtu.be/fY5EQFyggIU

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# 669 : Jah Legacy

Invité : Jah Legacy
Album : Carl Barat & the Jackals :  Let It Reign
Mardi 05 Mai 2015

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Carl Barat: Glory Days
Carl Barat: War of the Roses
Carl Barat: March of the Idle
Parlor Snake : Here Comes the Hell
Jay Legacy : Inner Revolution
Jah Legacy : God Will Make away
Kid Francescoli :  Disco Queen
Jah Legacy : Faya and Straw
Jah Legacy : Try
Jah Legacy : Will be forever Loving Jah  (Cover Bob Marley)
Jah Legacy : Do it Right
Ben E King : Stand by Me (Fugees)  
Carl Barat : A Storm Is Coming

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Contact :
Jah Legacy

jahlegacy@gmail.com
Charley / 06 79 32 36 40
www.facebook.com/jahlegacyofficial?fref=ts
http://www.jahlegacy.fr/

Parlor Snake :
gomina@tccprod.fr , conciergerie@la-mission.com , eloise@la-mission.com  , holdonmusic@gmail.com
https://soundcloud.com/parlor-snakes

Kid Francescoli
www.kidfrancescoli.com
celine@agauchedelalune.com , xavier@yotanka.net , olivier@alter-k.com

Les PodCast :
Pt I : www.wat.tv/audio/669-jah-legacy-pt-7cj5f_2jryb_.html
Pt II :  www.wat.tv/audio/669-jah-legacy-pt-ii-7ciz1_2jryb_.html

Ou Ici : http://agoracotedazur.fr/category/loreille-qui-gratte/

Les Vidéos :
Gilbert Taurel à propos de Carl Barat : https://youtu.be/bwhKN3YrZpI
Chronique du concert de Mono par Simon Pégurier : https://youtu.be/zTumd-V3nD0
Gilbert Taurel à propos de Parlor Snake : https://youtu.be/saR5L28WR3M
Jah Legacy :  God Will Make away https://youtu.be/MoSgI2mLyBQ
Gilbert Taurel à propos de Kid Franscoli : https://youtu.be/fY5EQFyggIU
Jah Legacy : Faya and Straw https://youtu.be/FMsL0UuQ7qM
Jah Legacy : Try https://youtu.be/ErpqykPcKx4
Jah Legacy : Will Be Forever Loving Jah (Cover Bob Marley) https://youtu.be/m9C-VtrWJ34
Les annonces de concert : https://youtu.be/mK5RhhEYDAw
Jah Legacy : Do it Right https://youtu.be/eUIj1YRtwiQ
Hommage à Ben E.King : La video : https://youtu.be/4JTO1zT60_s le texte : http://tmblr.co/ZFA7bx1kAuQ0Q
Session de Jah Legacy Pt I : https://youtu.be/tAwx2T-15RY
Session de Jah Legacy Pt II : https://youtu.be/3I_3Pyg46wA

Iles désertes :
Charley
Livre : Gaston (Franquin)
Disque : George Benson
Film : O’Brother  (Les frères Coen)

Manu
Livre sur les plantes médicinales
Disque : Bob Marley confrontation
Film : Les visiteurs (Jean-Marie Poiré)

Juju
Livre : Les piliers de la terre (Ken Follett)
Disque  : Pink Floyd : Wish You Were Here
Film : The Doors (Oliver Stone)

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Adieu Mr Ben E. King

Avant 1960, il s’appelle Benjamin Earl Nelson, il est la voix principale des Drifters (groupe de doo wop,  style très prisé à l’époque). Ce groupe enregistrera pour Atlantic Records quelques succès dont certains deviennent même numéro 1 en 1959. Nelson quitte alors le groupe.
Chez Atlantic, on veut mettre en avant Ben E. King et c’est avec Leiber et Stoller à la production et une chanson écrite par Leiber et Phil Spector, que Ben E. King enregistre son premier titre en artiste solo. La chanson, Spanish Harlem, paraît début décembre 1960.
Et puis c’est « Le slow du siècle »
Il écrit en 1961 Stand By Me, qu’il avait commencé à « travailler » du temps des Drifters et qui va trouver avec les arrangements de Leiber et Stoller toute son envergure.
Un début à la basse, un contretemps, un frottement sur une percussion, puis la voix de Ben E. King, presque plaintive (« When the night has come / And the land is dark »), les cordes de l’orchestre, les chœurs.
Ah, là là, tout est écrit, tout est dit ! Cette ballade poignante et intense dans sa montée orchestrale, devient « le slow ultime » dès sa sortie début 1961 et sera repris des centaines de fois par les plus grands artistes.
Après, Ben E. King enregistrera encore plusieurs succès comme Ecstasy et Don’t Play That Song en 1962, dont nous avons déjà parlé à l’occasion de la reprise d’Adraono Celatano. Mais rien qui n’atteindra la reconnaissance mondiale et l’impact de Stand By Me.
La vogue disco des années 1970 lui donnera encore un petit succès avec la chanson Supernatural Thin.
Ensuite, après avoir quasiment cessé d’enregistrer dans les années 1980, il reprendra une activité lors de concerts, par le biais de la nostalgie pour la soul music des années 1960. Son répertoire mêlant les chansons des Drifters et ses succès.
Il nous a quitté, repose en paix…ta musique est éternelle…
Gilbert Taurel

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