# 578 Eon Megahertz

L’Oreille Qui Gratte # 578

Le Dimanche 04 Mars 2012

de 00h00 à 1h40

 Invité : Eon megahertz
Album : David Lynch : Crazy Clown Time


David Lynch  :  Noah’s Ark.

Appletop : The Comeback   

The Jesus And Mary chain : Reverence

David Lynch  :  I Know.

Eon Megahertz : Satisfaction Inside

Eon Megahertz :  I Used To Want You So Bad

L : Jalouse

Eon Megahertz : Skeleton Clock    

Eon Megahertz : Do It Alone         

Eon Megahertz : Slayer – Raining Blood

Deadbolt Hillbillys Zombies (Coup de Cœur d’Eon Mhz)

David Lynch  :  Stone’s Gone Up

Icarus Line : We Sick

MC5 : Kick Out the Jams nécro

EON MEGAHERTZ
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L’émission est disponible en PodCast ici

Pt I :  www.wat.tv/audio/578-eon-megahertz-pt-4yerd_2jryb_.html

Pt II :  www.wat.tv/audio/578-eon-megahertz-pt-ii-4yer9_2jryb_.html

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M83

Lors de l’enregistrement de l’Oreille qui gratte, samedi 03 mars, un peu par hasard, nous avons réalisé (Avec Benoit Belasco & Gilbert Taurel) une Interview avec Antony Gonzalez d’M83. Malgré les quelques problèmes techniques, ce fut un plaisir de discuter avec notre ami antibois

http://www.wat.tv/audio/interview-m83-4xjkl_2hw3j_.html

Pour illustrer cet entretien, je vous propose, une photo réalisée lors de leur première venue à l’Oreille qui gratte le 6 mai 2003, ils étaient encore un duo (ils sont ensuite venus deux fois).

J’avais retranscrit notre rencontre de mai 2003, mon ami Philippe Perret avait diffusé dans son magazine Nouvelle Vague cet entretien qu’il avait d’ailleurs mis en couv.

Couverture qui fut la première d’une longue série pour nos amis antibois. J’en suis d’ailleurs encore fier.

Simon Pégurier 

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# 577 Roccomecanic

L’Oreille Qui Gratte # 577

Le Dimanche 05 février 2012 de 22h05 à 23h55
(18e de la 17ème saison)

 Invité : Roccomecanic
Album de la semaine : Air : Le Voyage dans la lune


Air : Seven stars

l’Etrangleuse : All The Things

The Cramps : Surfin Bird.     

Air : Cosmic trip

Roccomecanic : Join Me To Dance

Interview Avec M.83

Roccomecanic : Your Own Way


Women : Drag open  Necro

Roccomecanic : Shadows     

Roccomecanic : Hard Ride

Roccomecanic : Dead And Gone (The Black Keys) 

Rescue Rangers : Ape Shall Not Kill Ape

Mustang : Restons amant

Air : Who I am I now

Contact :
Roccomecanic

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07.61.01.86.70.
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L’Etrangleuse
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Joyeux Anniversaire John Cale (70 ans)

En cadeau voici la Traduction de The Gift 

***
Waldo Jeffers avait atteint sa limite.
Nous étions à la mi-août,
Ce qui signifiait qu’il était séparé de Marsha
Depuis plus de deux mois.
Deux mois,
Et tout se qu’il avait montré se résumait à trois lettres écornées
Et deux appels longue distance extrèmement chers.
Il est vrai qu’après la fin de leurs études,
Elle était retournée dans le Wisconsin
Et lui à Locust, en Pensylvanie
Elle avait juré de maintenir une certaine fidélité.
Elle pouvait avoir des rendez-vous à l’occasion, mais seulement pour s’amuser.
Elle resterait fidèle.
Mais récemment, Waldo commençait à s’inquiéter.
Il avait des difficultés à s’endormir,
Et quand il y parvenait, d’horrible rêves survenaient.
La nuit, il s’étendait éveillé,
Remuant et se tournant dans tous les sens sous son édredon protecteur,
Tandis que les larmes emplissaient ses yeux,
Car il s’imaginait Marsha,
Ses promesses corrompues par la liqueur
Et les doux appaisement de quelque Neandertals,
S’offrant finalement aux carresses de l’oubli sexuel.
C’était bien plus que ce que l’esprit humain pouvait supporter.
Les visions de l’infidélité de Marsha le hantaient.
La journée, des fantasmes d’abandon sexuel pénétraient ses pensées,
Et le truc,
C’était que personne ne comprendrait ce qu’elle était vraiment.
Lui, Waldo, était le seul à pouvoir la comprendre.
Il connaissait intuitivement chaque coin et recoin de sa psyché.
Il l’avait faite sourire,
Elle avait besoin de lui,
Et il n’était pas là.
 
Ahh…

L’idée lui vint le jeudi
Précédant l’annoncement des préparatifs de la grande parade Mummers(1).
Il venait juste de finir de tondre fignoler les bords de la pelouse des Edison pour 1, 50$,
Et de vérifier sa boîte aux lettres
Dans l’espoir d’y découvrir ne fût-ce qu’un mot de Martha.
Il n’y avait trouvé qu’une circulaire
De l’ Amalgamated Aluminum Company of America,
Qui s’enquerrait de ses besoins en auvents et stores.
Eux au moins se souciaient suffisamment pour lui écrire.
C’était une société New-Yorkaise,
Vous pouviez aller n’importe où par courrier.


Il fut alors frappé d’une révélation.
Il n’avait pas assez d’argent pour aller dans le Wisconsin
Par les modes habituels, c’est vrai,
Mais pourquoi ne s’enverrait-il pas lui-même par la poste ?
C’était incroyablement simple.
Il s’empaqueterait lui-même, et s’expédierait par le service des colis exprès.
 
Le jour suivant Waldo alla au supermarché
Pour se procurer l’équipement nécessaire.
Il acheta un rouleau de papier adhésif, une agrafeuse de tapissier,
Et une boîte en carton de taille moyenne,
Tout juste assez grande pour une personne de son gabarit.
Il jugea qu’avec un minimum de secousses,
Il pourrait voyager tout à fait convenablement.
Quelques trous d’aérations, un peu d’eau, peut-être un casse-crôute,
Et il se sentirait certainement aussi bien qu’un touriste.
 
Dès le vendredi après-midi, Waldo était entièrement paré.
Il s’était minutieusement empaqueté, et le bureau de poste
Avait donné son accord pour le prendre chez lui à 15 heures.
Il avait marqué le paquet “ FRAGILE ”
Et en se pelotonnant dedans,
Installé dans la mousse caoutchouteuse amortissante qu’il avait attentionnément disposée,
Il essaya de visualiser la crainte et le bonheur se mêlent sur le visage de Marsha
Au moment où elle ouvrirait la porte,
Verrait le colis,
Donnerait un pourboire au livreur
 Et ouvrirait ensuite le paquet pour y trouver son Waldo en chair et en os.
Elle commencerait par l’embrasser,
Et puis ensuite, ils iraient peut-être voir un film.
Ah si seulement il avait pensé à ça plus tôt.
Brusquement, des mains empoignèrent son paquet
Et il se sentit soulevé.
Il atterrit avec un bruit sourd dans le camion, c’était partit.
 
Marsha Bronson venait juste de finir d’arrangement ses cheveux.
Le week-end avit été trés dur
Elle devait se rappeler de ne plus boire autant.
Quoique, Bill avait été très gentil avec elle.
Après avoir conclus, il lui avait dit qu’il la respectait encore
Et qu’après tout c’était la nature,
En réfléchissent bien, il ne l’aimait pas réellement,
Il ressentait simplement de l’affection pour elle.
Et puis après tout, ils étaient adultes.
Oh, tout ce que Bill pouvait apprendre à Waldo.
Mais toute cette histoire semblait remonter à des années.
 
Sheila Klein, sa meilleure amie parmi les meilleurs,
Traversa la véranda
Jusqu’à la cuisine.
“Dis donc, il fait très bizarre dehors aujourd’hui. ”
“Ah oui, je vois ce que tu veux dire, je me sens toute poisseuse”
Marsha serra dans ses poings la ceinture de sa robe de coton,
Celle avec le revers de soie.
Sheila fit courir son doigt sur quelques grains de sels qui se trouvaient sur la table de la cuisine,
Le lécha et fit une grimace.
“Je suis censée prendre ces pilules de sel, mais”
Elle secoua le bout de son nez
“elles me donnent envie de gerber”
Marsha se mit à se caresser sous le menton,
Un exercice qu’elle avait vu à la télévision.
“Mon Dieu, m’en parle même pas. ”
Elle se leva de table et se dirigea vers l’évier,
Où elle s’empara d’une bouteille de vitamines bleues et rouges.
“T’en veux ? C’est sensé être meilleur qu’un steak, ”
Après quoi elle tenta de toucher ses genoux.
“Je pense que je ne toucherai plus jamais à un Daiquiri. ”
Elle lâcha l’affaire et s’assit,
Cette fois tout près de la petite table où était posé le téléphone.

“Peut-être que Bill va appeler, ”
Lança-t-elle sous le regard de Sheila.
Sheila se grignotait une peau d’ongle.
“Après la nuit dernière, je me suis dit que peut-être tu en aurais fini avec lui. ”
“Je vois ce que tu veux dire.
Mon Dieu, ce mec est comparable à une pieuvre, les mains partout à la fois ! ”
Elle gesticula, levant ses bras comme pour se défendre.
“Le truc c’est que,
Au bout d’un moment, on en a marre de le repousser, tu vois,
Et comme après tout il n’a pas fait grand chose Vendredi et Samedi,
Je lui devais ça en quelque sorte, enfin tu vois ce que je veux dire. ”
Elle commença à se gratter.
Sheila riait bêtement avec les mains devant la bouche.
“Je vais te dire, j’ai ressenti la même chose, et même, après un petit moment, ”
Elle se pencha en avant et chuchota
“j’en avait envie. ”
 Cette fois si elle se mit à rire très fort.

C’est à ce moment que M. Jameson,
Du bureau de poste de Clarence Darrow,
Actionna la sonnette de la porte d’entrée de la large maison enduite de stuc.
Quand Marsha ouvrit la porte,
Il l’aida à transporter le paquet à l’intérieur.
Il lui fit signer son bout de papier jaune et son bout de papier vert
Et partit avec un pourboire de 15 cents que Marsha avait pris
Dans le portefeuille beige de sa mère, dans son repère.“
"Qu’est-ce que ça peut bien être, à ton avis ? ”
Demanda Sheila.
Marsha avait les bras croisés derrière le dos,
Et observait la boîte en carton marron
Trônent là au milieu de la pièce.
“J’en sais rien. ”
 
Dans le colis Waldo tremblait d’excitation
En entendant les voix étouffées.
Sheila caressa de son ongle le ruban de papier adhésif
Qui courrait sur tout le centre de la boîte.“
"Pourquoi ne regardes-tu pas l’adresse de retour pour savoir de qui ça vient. ”
Waldo pouvait sentir son coeur battre.
Il sentait les vibration des pas.
C’était pour bientôt.
Marsha tourna autour du carton et lu le sigle imprimé-encre.
“Hé, c’est de Waldo ! ”
“Cette andouille”, dit Sheila.
Waldo n’en pouvait plus d’attendre.
“Bon, ben tu ferais peut-être mieux de l’ouvrir”, dit Sheila.
Elle tentèrent toutes les deux de soulever le rebord agrafé.
“Oaah”, grommela Marsha.
“Il l’a certainement cloué. ”
Elle tirèrent à nouveau sur le rabat.. “
"Mon dieu, il faut une perceuse électrique pour ouvrir ce machin. ”
Elles insistèrent encore.
“Y a pas de prise. ”
Elles se levèrent toutes deux, respirant lourdement.
“Pourquoi n’essayes-tu pas avec des ciseaux ? ”, dit Sheila.
Marsha se précipita dans la cuisine,
Et y prit une petite paire de ciseaux de couture.
Puis elle se rappela
Que son père avait une collection d’outils dans la cave.
Elle se hâta de descendre,
Et quand elle revint,
Elle tenait dans ses mains une grosse cisaille à tôle.
“C’est le mieux que j’aie pu trouver”,
Elle reprenait son souffle.
“Voilà, fais-le, moi je suis morte. ”
Elle s’affala dans un grand canapé moelleux et exahla bruyamment.
Sheila tenta de créer une fente entre la bande de papier adhésif
Et le bord de la boîte,
Mais la lame était trop grosse et il n’y avait pas assez d’espace.
“Putain de truc ! ”,
Dit-elle vraiment exaspérée.
Avant de sourire,
“J’ai une idée… ”
“Quoi ? ” interrogea Marsha.
“Contente-toi de regarder”, dit Sheila, en touchant son crâne du doigt.

A l’intérieur du paquet,
Waldo était empli d’une telle excitation
Qu’il pouvait à peine respirer.
Sa peau était si brûlante qu’elle le piquait
Et il sentait remonter dans sa gorge les battements de son coeur.
C’était pour bientôt.


Sheila resta debout
Et contourna le carton jusqu’à son autre côté.
Puis elle s’agenouilla,
Agrippa la cisaille par ses deux poignées,
Prit une profonde inspiration,
Et plongea la longue lame
à travers le milieu du colis,
à travers le milieu du ruban adhésif,
à travers le milieu de la boîte,
à travers la mousse
Et en plein à travers le centre de la tête de Waldo Jeffers,
Qui éclata doucement
Et créa de petits arcs rouges
S’expulsant en rythme dans la lumière matinale du soleil.

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# 576 Mandrac

L’Oreille Qui Gratte # 576

Le Dimanche 05 février 2012 de 20h10 à 21h50
(17e de la 17ème saison)

Invité : Mandrac 

Album : M83 : Hurry Up, We’re Dreaming


  • M.83 : Midnight City
  • The Wind : What Really Matters
  • David Sylvain : Waterfront.
  • M.83 : Reunion
  • Mandrac : Mean – “third child part 3”
  • mandrac : Devoted Soldier – “Third Child part 2”     
  • Piers Faccini : No reply
  • Merakhaazan                       
  • Mandrac & Eon Megahertz : this mess – album : qwartz            
  • Mandrac : Reprise  : Dave Gahan – Miracles – album : hourglass
  • I AM X : Volatile Times
  • M83 : Steve McQueen.
  • Francois and The Moutain Atlas : Piscine

Contact :
Mandrac
www.myspace.com/mandracmusic
mandracmusic@free.fr
06.24.50.23.15

The Wind :
contact@the-wind.fr
http://www.myspace.com/th3wind

Regard Independant :

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Pt I :   www.wat.tv/audio/576-mandrac-pt-4x1kv_2jryb_.html

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Adieu M.Gerard Rinaldi (Leader des Charlots)

Adieu Mr Gerard Rinaldi (Leader des Charlots)

 A l’image de Philippe Katerine, je reconnais aisément que nous avons tous une partie honteuse dans notre culture musicale. C’est pour cela que la mort de Gerard Rinaldi (Leader des Charlots) me touche.

Evidement les charlots ce n’est pas un humour très raffiné mais franchement cela a marqué ma jeunesse.

Lorsque j’étais a l’école primaire, notre instit avait eu la drôle d’idée de nous amener dans la salle de la cite paroissiale de Vence pour voir sur écran géant un film des charlots. C’était l’histoire de petits commerçants qui se battaient contre l’implantation d’une grande surface. Ce fut un des premiers  films que j’ai vus au cinéma et comme chacun sait les premières fois ca marque éternellement.

Depuis j’ai toujours eu un œil sur les charlots. Des qu’il passait un de leurs films je faisais des pieds et des mains pour le voir. Petit ça me faisait rire, aujourd’hui c’est tout juste si je souris mais allez savoir pourquoi des qu’une chaine de la TNT genre W9, décide d’interrompre la diffusion permanente des Simpson pour diffuser un film des charlots et ben je le regarde.

 J’ai d’ailleurs moi-même souvent eu l’impression de vivre dans un film des charlots, jeune adulte quand mes amis partaient dans tous les sens ou encore, lorsque je me suis rendu pour la deuxième fois a Tarascon pour les trois jours militaire. Oui deuxième fois car entre temps j’avais eu un pépin physique qui me rend malheureusement encore aujourd’hui la pratique du sport totalement impossible. L’armée française avait convoqué une session « 3jours » spéciales pour gars qui avaient déjà passé les premiers tests mais qui revenaient car depuis ils pensaient ne plus être aptes. Et bien pendant les 2 jours de mes 3jours j’ai pensé à faire une suite des bidasses qui s’intitulerait « les charlots veulent se faire reformer ».

 Ensuite tous le monde se souvient de Marc et Sophie une espèce d’un gars une fille avant l’heure. A y regarder a nouveau de plus prés je me dis que Gérard Rinaldi a manqué de peu un oscar.

 Comme vous me savez curieux je me suis retourné sur la carrière musicale des charlots et avant d’être des comique, ils avaient déjà un groupe « Les Remplaçants » qui tenait très bien la route, ils ont même fais la première partie des Rolling Stones (et oui !) et le magazine Rolling Stone, les avait même élus meilleur groupe de studio français. Ils accompagnaient notamment régulièrement Antoine (l’homme aux chemises a fleurs).

Plus récemment un collègue de boulot a chanter « merci patron » en réunion cette performance inattendue m’a fait me replonger dans tous ces hits indémodables ( Sois érotique , Merci patron, L’Apérobic, Paulette la reine des paupiettes…)

 Bon ben ce soir je vais rester chez moi sur W9 ou TMC il y aura bien une rediffusion

 Simon Pégurier

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