# 719 Lone Redneck

L’Oreille Qui Gratte # 719

Invité :  Lone  Redneck

Album de la semaine : Trevor
Sensor  : Andy Warhol’s Dream

 Trevor Sensor : Lion’s Pride

Trevor Sensor : High beams

Marie Antoinette : Outta my mind

Trevor Sensor : on your side

Lone
Redneck :
I Want a Woman

Lone
Redneck :
Road To Dixie

Status Quo : Caroline

Jef : A deux
pas du seuil

Lone
Redneck :
The Outlaw

Lone Redneck : I sang Dixie (Cover Dwight Yoakam)

Lone
Redneck :
Redneck Girl

Lone
Redneck :
Tougher Than The Rest (Bruce Springsteen Cover)

The Doors : Roadhouse blues

Trevor Sensor : It wasn’good enought.

 Contact :

Lone
Redneck

loneredneck1@yahoo.fr
claude.lever@gmail.com
www.loneredneck.com

Jef

presse@lemondedejef.com

www.facebook.com/lemondedejef/

www.lemondedejef.com

Marie Antoinette :

facebook.com/marieantoinettetheband

http://marieantoinette666.bandcamp.com/

marieantoinettetheband@yahoo.com

marieantoinettetheband@gmail.com

 Les PodCast :

http://agoracotedazur.fr/category/loreille-qui-gratte/

 Les
Videos :

Lone
redneck

–        Road To Dixie https://youtu.be/SumnV0GGdA0

 –      
The Outlaw https://youtu.be/yVttOsdB0Q0

–  
      I sang Dixie
(Cover Dwight Yoakam) https://youtu.be/LhevBxrGEMk

–         Redneck Girl https://youtu.be/Ct8shJhKuFU

–         Tougher Than The Rest (Bruce
Springsteen Cover) https://youtu.be/pDJcjAwep7w

–         Lone
Redneck sur un ile déserte : https://youtu.be/WA_sY6Blfi0

–          Session
acoustique
de Lone Redneck https://youtu.be/q2VVyhCBuXE

  Les Rubriques

–         
Album de la semaine : Trevor Sensor
: Andy Warhol’s Dream https://tmblr.co/ZFA7bx2R6tHZc

–         
Autoproduction :  Jef https://youtu.be/YxcmyfkUCFo

–          A venir : Marie Antoinette https://youtu.be/Z7u-7D_xHeY

–         Les
annonces de concert : https://youtu.be/BK-uzvGm7n8

–         L’Histoire
du rock The Doors : Roadhouse blues https://youtu.be/gb28h1F94U8

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Trevor Sensor :  Andy Warhol’s Dream

image

Dans le genre surdoué folk-rock, On avait eu Jake
Bugg ce jeune British qui faisait une folk moderne et très Dylanesque.
Aujourd’hui je vous présente Trevor Sensor, jeune américain de
23 ans qui a grandi dans l’Illinois. Cette terre du Midwest frappée par les
crises financières et industrielles.

La légende de Trevor
Sensor a commencé dans le petit bar d’une ville presque oubliée, à Pella, dans
l’Iowa… Par
hasard, le guitariste des Killers, (Dave Keuning), a enregistré Trevor Sensor
sur scène, et a décidé de le promouvoir. Un an plus
tard, après avoir sorti une paire d’EP et obtenu une tournée nationale,
l’artiste trouve un public impatient de la sortie de son premier album.
Les talents d’écriture ainsi que la voix au timbre guttural et vibrant de
Trevor Sensor, nous avait mis l’eau à la bouche, et là en 2017 il nous offre « Andy
Warhol’s Dream
 », sa chronique très personnelle de la haine ordinaire…

Dans ce décor, Trevor Sensor dessine sa
musique écorchée vive et bercée par le blues. Trevor c’est un peu une âme
adulte coincée dans un corps juvénile. Il observe, décrypte et analyse les
comportements humains. Sa voix saisissante s’empare de nous dès la première
seconde sans plus jamais nous lâcher. Il porte le poids de la détresse des
comptoirs de ces petits rades imprégnés de whiskies. Son chant nous va droit au
cœur, évoquant parfaitement les brumes qui s’étendent sur les terres
américaines qui l’ont vue naitre.

Chez Trevor Sensor, il y a ce quelque chose de
dangereux, de fantomatique et de beau. Il chante comme on se confie. Il chante
comme on s’étripe. Il chante comme si ses mots l’écorchaient. D’ailleurs,
Trevor Sensor le dit lui-même : « La sincérité façonne chacune de mes
paroles ». Etonnant compositeur qui, sur une embarcation d’une autre
époque (la folk), navigue sur les mots et les maux de la jeunesse contemporaine.

Gamin accaparé par ses personnages, visage
d’ange et voix cassée, il utilise dans ses textes toutes ses impressions et notes,
consignées dans un carnet déjà rongé par le temps. « Andy Warhol’s
Dream » est une merveille de folk-rock traditionnel et corrosif – Être
dans le vrai : son pari est risqué, mais gagnant sur toute la ligne !  
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Et même de
l’humour et du second degré ici

https://www.youtube.com/watch?v=SZ-WhVeYPHc

Gil Tau

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Sextille : Albeit Living

Au tout
début, Sextile c’était  Brady Keehn(guit), Melissa Scaduto(dr), Eddie
Wuebben(synth), désormais il y a un 4eme : Kenny Elkin (bass)

Sextile
décrit le son de leur groupe comme «post-punk primitif de l’espace extra-atmosphérique.»
rien que ça ! ! en tout cas « ça dépote bien ».

Désormais une
institution dans la scène alternative de Los Angeles, Sextile a gagné un fan en
ma personne.  Depuis sa création en 2015,
leur son révolutionnaire s’affranchissant des convention a su créer une signature
originale, combinant  l’énergie brute du  punk 70’ avec les éléments sophistiqués de  synth-wave .

La première
sortie de Sextile, A thousand hands,
avait un son très « dark R’n’roll » mâtiné de punk industriel. On
pourrait appeler ça du  post-punk avec un
fond d’énergie violente, parsemé de saturations  garage psychédélique.

Quand
Sextile est sur scène, les membres transmettent toute leur énergie, électrisant
la foule, parfois à la limite de l’émeute.

En 2017, Après
s’être enfermés dans un sous sol  pour
enregistrer pendant deux semaines, Sextile est de retour avec leur deuxième LP,
Albeit living.

Du début à
la fin, Albeit Living est un choc :
le synthé est au premier plan sur cet album, et domine plus puissamment que sur
le précédant opus . Malgré un son plus sophistiqué, Albeit Living passe très
bien sur scène où le groupe intensifie encore son  énergie durant les spectacles.

LP à dix titres
s’affirme comme une évolution forte et tandis qu’il redéfinit le son de Sextiles,
et la nouveauté réelle de l’album est la façon dont il transgresse les règles
des genres plus conventionnels de la musique et s’efforce de créer quelque
chose de vraiment unique.

L’album
démarre très fort, vous accrochant presque instantanément dans son orbite à  coup de uptempo  de la batterie, des synthé et de la reverb omniprésente
. Vous n’aurez aucun répit à l’écoute de ce disque.

Gil Tau 

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# 718 Pandore Orchestra

L’Oreille Qui Gratte # 718

Invité : Pandore Orchestra

Album de la semaine : Sextille : Albeit Living

Le Mardi 10 Octobre 2017

Sextille : Who killed Six

Sextille : AVC

The Hobo Sapiens : Time and Place

Pandore Orchestra : Personne ne te remplace

Pandore Orchestra : L’étreinte

Sextille : Sterilized

Mare Imbrium : Nothing is enough

Le Tchapaclan : Le barbellay

Pandore Orchestra : Nuit d’automne

Pandore Orchestra : Les chimères

Pandore Orchestra :Tryo_L’hymne de nos campagnes

Sextille : One of these

 Contact :

Pandore Orchestra
www.facebook.com/pages/Pandore-Orchestra/226100527415491
www.reverbnation.com/pandoreorchestra
Sylvain Eynard 0688279149
Julien Carignano 0684048356
pandoreprod@gmail.com

 Mare Imbrium

mare.imbrium06@gmail.com

06-68-53-82-10

FB : www.facebook.com/mareimbrium06

MySpace :
www.myspace.com/mareimbrium06

Soundcloud
: www.soundcloud.com/mareimbrium06

The HoboSapiens

TheHoboSapiens@hotmail.com

https://www.facebook.com/Pete-and-the-HoboSapiens-1662331857367576

Le tchapaclan

https://www.facebook.com/letchapaclan/

letchapaclan@gmail.com

Les PodCast :

http://agoracotedazur.fr/category/loreille-qui-gratte/

Les Videos :

Pandore Orchestra

–        L’étreinte https://youtu.be/4QiJHwmGQ3Y

–      Nuit d’automne   https://youtu.be/2cMEw1kJWCQ

–         Les chimères https://youtu.be/j2pc28szHe4

–         L’hymne de nos campagnes  (Cover
Tryo) https://youtu.be/Y0s8udbkjU0

–         Pandore orchestra sur une ile déserte :
https://youtu.be/WA_sY6Blfi0

Session acoustique de Pandore Orchestra https://youtu.be/pFAu4lICnyE

Les Rubriques

– Album de la semaine : Sextille : Albeit Living https://youtu.be/eUQt-tObN4s

-Autoproduction : The Hobo Sapiens https://youtu.be/yV0EuwutuDg

– A venir : Mare Imbrium https://youtu.be/E__4O8zRp_A

– Les annonces de concert : https://youtu.be/709j90ZRees

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