There is a light that never goes out

34e anniversaire de la sortie de The Queen Is Dead de The Smiths (16 Juin 1986)

Qui sait l’achat de « The queen is dead » de The Smiths est peut l’acte le plus important de ma vie, celui qui a marqué a tout jamais le cours de ma vie.

En effet ce disque est le premier vinyle que j’ai acheté. Mon amour de la pop musique est venu de là. Que ce serait -t-il passé si j’avais acheté un album Bonney M un livre d’Alexandre jardin ou un skate bord. Impossible de le dire.

Quoi qu’il en soit depuis ce jour ma principale occupation dans la vie est de dévorer des disques de rock indé ; de cette passion dévorante est née il y a 25ans l’oreille qui gratte

Mais comment ne pas fondre devant cette perfection pop, ce chant si mélodieux ces textes cyniques, marqués par le dégoût de soi mais aussi critiquant l’ère Thatcher.

C’était mes années au collège de la Sine. Parler sans cesse de ce disque m’importait plus que les circuits électriques d’E.M.T. ou les match de la veille du Real de Madrid.

Malgré un moindre succès commercial ce groupe (qui n’a duré que 5ans) est d’après moi aussi marquant dans la trace et l’inspiration qu’il a laissées dans l’histoire de la pop musique que par exemple Bowie ou Les Kinks.

J’ai mis sous verre la pochette de ce disque et il trône en belle place chez moi. Et oui c’est bien Alain Delon sur la pochette (Pour être honnête c’est le seul homme que je trouve vraiment beau).

Simon Pégurier

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