
Au tout
début, Sextile c’était Brady Keehn(guit), Melissa Scaduto(dr), Eddie
Wuebben(synth), désormais il y a un 4eme : Kenny Elkin (bass)
Sextile
décrit le son de leur groupe comme «post-punk primitif de l’espace extra-atmosphérique.»
rien que ça ! ! en tout cas « ça dépote bien ».
Désormais une
institution dans la scène alternative de Los Angeles, Sextile a gagné un fan en
ma personne. Depuis sa création en 2015,
leur son révolutionnaire s’affranchissant des convention a su créer une signature
originale, combinant l’énergie brute du punk 70’ avec les éléments sophistiqués de synth-wave .
La première
sortie de Sextile, A thousand hands,
avait un son très « dark R’n’roll » mâtiné de punk industriel. On
pourrait appeler ça du post-punk avec un
fond d’énergie violente, parsemé de saturations garage psychédélique.
Quand
Sextile est sur scène, les membres transmettent toute leur énergie, électrisant
la foule, parfois à la limite de l’émeute.
En 2017, Après
s’être enfermés dans un sous sol pour
enregistrer pendant deux semaines, Sextile est de retour avec leur deuxième LP,
Albeit living.
Du début à
la fin, Albeit Living est un choc :
le synthé est au premier plan sur cet album, et domine plus puissamment que sur
le précédant opus . Malgré un son plus sophistiqué, Albeit Living passe très
bien sur scène où le groupe intensifie encore son énergie durant les spectacles.
LP à dix titres
s’affirme comme une évolution forte et tandis qu’il redéfinit le son de Sextiles,
et la nouveauté réelle de l’album est la façon dont il transgresse les règles
des genres plus conventionnels de la musique et s’efforce de créer quelque
chose de vraiment unique.
L’album
démarre très fort, vous accrochant presque instantanément dans son orbite à coup de uptempo de la batterie, des synthé et de la reverb omniprésente
. Vous n’aurez aucun répit à l’écoute de ce disque.