Népal : Adios Bahamas

Du rap sur l’oreille qui gratte, je suis venu briser les codes 😉
 
Népal, rappeur masqué de la 75ème session, petit studio à Paris tellement undergound qu’il aurait sa place dans la catégorie autoprod de l’oreille qui gratte.
Masqué pour faire passer la musique avant le culte de la personne (comparable aux amis stupeflip ou gorillaz).
Le jeune artiste commence sa discographique avec une série de 4ep très réussie dans une ambiance sombre et peu accessible comparée au rap « mainstream » de notre époque.
J’ attendais donc beaucoup d’un premièr album et je ne fus pas déçu… mis à part qu’il est malheureusement sorti à titre posthume, en effet le jeune rappeur est mort d’une raison inconnue.
 
Premier vrai album paradoxalement plus lumineux que certains ep, Nepal se livre de plus en plus en introspection sur lui-même quitte à laisser de côté le style rappeur pour faire place à des textes chantés ou parlés.
 
Une œuvre d’une vie que je vous invite à écouter, ne serait-ce que pour honorer sa mémoire.
 

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