Hommage à JJCale

J J Cale (L’Oreille Qui Gratte du 12/11/2013)

John Weldon Cale, dit J. J. Cale, est mort, vendredi 26 juillet, il avait sorti seize albums studio publiés en 38 ans, même pas un tous les deux ans 

Des disques à la fois folk et funky, bichonnés par un musicien qui a toujours aimé les ballades rythmées mais peinardes.

Pour quelques tubes (Cocaine, After Midnight), pour son talent de guitariste économe et pour sa réputation de vieux cow-boy cool, JJ Cale est devenu un anti-héros, adulé et copié par des musiciens plus connus que lui (Mark Knopfler et Eric Clapton dès 1970). Une image lui irait : le Clint Eastwood de la musique roots rock.

Comme guitariste, il était considéré comme l’un des plus sûrs représentants du style dit laid back (un jeu décontracté, avec un placement légèrement en arrière du temps). Chanteur à la voix tranquille et nonchalante, en accord avec son phrasé d’instrumentiste.

Il a eu pour influence Chet Atkins, Hank Williams et Jimmy Reed.
Des dates marquantes : En 1971 Parution de son premier album, Naturally (After Midnight)

1976 Parution de l’album Troubadour, qui contient sa chanson la plus célèbre, Cocaïne
2006 Collaboration avec Eric Clapton pour l’album “ The Road To Escondido ”

Il fut aussi un pionnier en jouant de tous les instruments sur certains de ses disques – Il s’en est allé à 74 ans

 Don’t cry sister cry, everything’ll be just fine” comme il le disait dans un de ses titres.

En écoute là : http://www.youtube.com/watch?v=3Umeco1Z-j4

giltau

PS : La Chronique est disponible en vidéo ici : www.youtube.com/watch?v=XXMXoHuGPnI

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