There is a light that never goes out

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There is a light that never goes out  (Il y a une lumière qui ne s’éteint jamais)

Voila la phrase qui résume au mieux l’amour que je porte à la pop music.

Depuis l’achat de mon premier vinyle  « The queen is dead » des Smiths il y a près de 32ans cette passion pour le rock indépendant ne m’a jamais lâché,  faisant que ma tête est un perpétuel  juke box, faisant que je recherche sans cesse ces sons qui tuent, cette nouveauté qui me fera oublier la précédente.

L’achat de ce disque est finalement l’événement le plus marquant de ma vie. Il a conditionné tout le reste.  Grace à la musique il  n’y a aucun jour vraiment gris, le son d’une guitare faisant toujours apparaitre un coin de ciel bleu.

J’ai poursuivi cette quête chacun des 365 jours qu’a compté 2017, voici la liste des disques qui m’ont le plus marqué. https://tmblr.co/ZFA7bx2TWCHu7

J’ai mis en tête l’album « Petite amie » de Juliette Armanet.  C’est le  disque que j’ai le plus écouté.  Un disque de variété de luxe qui s’assume, l’album d’une trentenaire sans tabou qui nous parle d’une manière poignante et ironique d’amour, de cul, de solitude. De la vie quoi !

Le Best Of 2017 de L’Oreille Qui Gratte sera dévoilé ce Mardi 02 Janvier 2018 à 19h10 sur  Agora Cote D’azur http://agoracotedazur.fr/

Il sera ensuite à retrouver sur notre Web radio  http://radio.loreillequigratte.com/ et sur notre blog http://www.loreillequigratte.com/

Soyons honnête « There is a light that never goes out » colle aussi parfaitement à l’amour que je porte à la si belle ville de Vence. Mon premier regard chaque matin, (après avoir cherché une chanson qui me convient sur mon radio réveil) se porte vers ses remparts. (D’où la photo). Et cela charge instantanément mes batteries pour la course poursuite de la journée

Je vous propose de traverser l’année qui s’ouvre à nous en musique, vous verrez tous vous semblera plus léger

De fond du cœur je souhaite le meilleur pour 2018

Simon Pégurier

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Best Of 2017 de Gil Tau

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1. Hookworms : Hookworks (Expanded Edition)

2. Hanni El Khatib : Savage Times

3. Liam Gallagher : As You Were

4. Bertrand Cantat : Amor Fati

5. Trevor Sensor : Andy Wharhol’s Dream

6. Pale Seas : Stargazing For Beginners

7. R. Missing : Unsummering

8. Sarah Walk : Little Black Book

9. Goldfrapp: Silver Eyes

10.  Sextile : Albeit Living

11.  Fisbach : a ta merci

12.  The Fall : New Facts Emerge

13.  Depeche Mode : Spirit

14.  The Jesus And mary Chain : Damage and Joy

15.  The Brian Jonestown Massacre : Don’t get Lost

16.  Chuck Prophet : Boddy Fuller Died for

17.  The New Pornographers : White out Conditions

18.  Boss Hog : Brood X

19.  Headstones : Little Army

20.  Courtney Barnett & Kurt Vile : Lotta Sea Lice

21.  Kraftklub : Kraftklub : Keine nacht fur

22.  The Struts : Everybody Wants

23.  Fort Atlantic : Shadow Shaker, Vol 1

24.  Slow joe & the ginger accident : Let Me Be Gone

25.  Charlotte Gainsbourg : Rest

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Best Of 2017 de Simon Pégurier

1. Juliette Armanet : Petite Amie

2. Cigarettes After Sex : Cigarettes After Sex 

3. Shannon Wright : Division

4. Björk : Utopia

5. Peter Perrett : How The West Was Won

6. Feist : Pleasure

7. Mount Kimbie : Love What Survives

8. Jean-Louis Murat : Travaux sur le N89

9. Fisbach : A Ta Merci

10.  Orelsan : la fête est finie

11.  Courtney Barnett & kurt Vile : Lotta Sea Lice

12.  Beck : Colors

13.  Zombie Zombie : Livity

14.  Slowdive : Slowdive

15.  Camille : Ouï

16.  The Feelies : In Between

17.  King Krule : The Ooz  

18.  Alex Cameron : Forced Witness

19.  Charlotte Gainsbourg : Rest

20.  John Maus : Screen Memories

21.  LCD Soundsystem : American Dream

22.  Forever Pavot : La pantoufle

23.  Grandaddy : Last Place

24.  Etienne Daho : Blitz

25.  Lana Del Rey : Lust For Life

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Best Of 2017 de Benoît Belasco

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01.  Thurston Moore – Rock ‘n’ Roll Consciousness

02.  Thee Oh Sees – Orc

03.  The Brian Jonestown Massacre – Don’t get Lost

04.  Lee Ranaldo – Electric Trim

05.  Baxter Dury – Prince of Tears

06.  The Black Angels – Death Song

07.  Bertrand Cantat – Amor Fati

08.  Slowdive – Slowdive

09.  Godspeed You! Black Emperor – Luciferian Towers

10.  Temples – Volcano

11.  Ride – Weather Diaries

12.  METZ – Strange Peace

13.  Mogwai – Every Country’s Sun

14.  The Jesus & Mary Chain – Damage and Joy

15.  The pains of being pure at heart –  The Echo of Pleasure

16.  LCD Soundsystem – American Dream

17.  Faust – Fresh Air

18.  Cherry Glazerr – Apocalipstick

19.  Boss Hog – Brood X

20.  Ty Segall – Ty Segall

21.  Beck – Colors

22.  The Flaming Lips – Oczy Mlody

23.  The National – Sleep Well Beast

24.  The Drums – Blood under my Belt

25.  Zombie zombie – Livity

26.  Courtney Barnett & Kurt Vile – Lotta Sea Lice

27.  The Horrors – V

28.  Bertrand Burgalat – Variations

29.  Protomartyr – Relatives in Descent

30.  Grizzly Bear – Painted Ruins

31.  Algiers – The Underside of Power

32.  Neil Young – Hitchhiker

33.  Liars – TFCF

34.  The xx – I See You

35.  Charlotte Gainsbourg – Rest

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Kid Francescoli

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En concert à Marseille en cette fin décembre 2017
avec son dernier album Play me again.

Kid Francescolic’est Mathieu Hocine qui est le seul membre permanent « du groupe », ici à l’OQG on le connaît depuis déjà une douzaine d’années.  

Mais petit flash back : alors qu’il officie sur Marseille depuis plusieurs années ; en 2009 Mathieu part  pour New York. Sur place il rencontre Julia Minkin, une musicienne débutante dont il tombe amoureux. Cette rencontre se mue en une véritable relation musicale puisque même après leur rupture, les deux musiciens continuent à produire et enregistrer ensemble.

Cette relation se prolongera par la sortie du disque With Julia, d’une telle richesse que l’on est alors totalement comblés. Une richesse à la fois toute simple et  tellement sophistiquée.  La musique de Kid Francescoli s’est toujours racontée comme des histoires d’amour et l’on est transporté par ce voyage aux accents mélangés d’Italie, de France et d’Amérique

Il récidive avec Play me Again et c’est à nouveau une réussite que je vous conseille.

Un Sirocco  méditerranéen vient apporter sa nonchalance à une Electro très French Touch.

Allez au concert, achetez ses disques… c’est plaisir et satisfaction garantis.

Gil Tau

 

https://www.youtube.com/watch?v=75ROCUXTOOs

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Pale Seas : Stargazing For Beginners

Prenez 4 jeunes anglais dont un
véritable leader (Jacob Scott), faites les mariner à Southampton quelques
années et vous obtenez Pale Seas. Ce groupe avait déjà
fait parler de lui dès 2012 avec une poignée de singles. Puis, silence radio
total, qui fut l’occasion pour le groupe de se concentrer sur sa musique et de
définir son propre son. Leurs premiers titres laissaient transparaître
d’évidentes influences Folk Rock, avec une atmosphère derrière laquelle on
pouvait reconnaître les influences de Jacob Scott : Neil Young, PJ Harvey,
Elliott Smith…

Stargazing for Beginners; (contempler les étoiles pour un débutant). Ce titre
du premier vrai album de Pale Seas, évoque la rêverie et c’est exactement ce
que proposent le groupe tout au long de ces 10 titres.

Une
constante s’établit dès les premières mesures : la voix de Jacob Scott,
d’emblée hypnotique, et parfaite. Autour se déploient les rythmes des guitares
alternant entre réverbération et distorsion: Into the Night et My Own
Mind
sont les vitrines de cet opus, assurant une entrée en matière délicate
et réussie.

Nul doute : les riffs de guitare nous traversent délicatement les tympans,
évoquant les plus belles heures de Beach
House
.

A l’écoute du très bon Into The Night qui
ouvre l’opus, on s’attend à écouter un groupe qui s’inscrirait dans le
renouveau psychédélique avec ses vocaux trainants à la Temples mais la suite va montrer que leur palette musicale est bien
plus large que cela. On ne peut s’empêcher de penser aux Cocteau Twins… une pure britpop en fait.
Le groupe offre des titres évidents comme My Own Mind (déjà évoqué) superbe
morceau de pop teinté de psychédélisme ou Someday, rock véritable qui a
tout d’un hymne avec ses guitares envoûtantes et sa mélodie imparable. On passe
aussi à une sorte de psychédélisme sur l’envoûtant Stargazing For Beginners.
Tout l’album est prenant ; compos
impeccables et maitrise incontestable, il possède en outre un atout de taille :
la voix super de Jacob Scott. Les Anglais ravivent la flamme de l’indie-pop. (c’est
courageux en 2017) ils insufflent ici une nouvelle vision pop rock. Lumineuse, la musique
du quatuor nous emporte avec délicatesse.

Les années de retraite de Pale Seas auront eu le
bénéfice de leur permettre de peaufiner un son particulièrement travaillé qui
sied à merveille au chant haut perché de Jacob Scott.

Pour résumer : J’ai savouré cet album d’une esthétique
extraordinaire. Et vous ?

Gil Tau

https://www.youtube.com/watch?v=Zibn4M33_cw

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# 723 Bloon

L’Oreille Qui Gratte # 723

Invité :  Bloon

Album de la semaine
:
Pale
Seas : Stargazing For Beginners

Le
Mardi 19 Décembre 2017

 Pale Seas : Into the Night

Pale Seas : Someday

Temenik electric
:
Zakia

Bloon : Mauvais rêve

Bloon : Spleen Exotique

Pale Seas : My Own Mind

Kid Francescoli :  Les Vitrines

The knife : Hearbeat

Pale Seas : Bodies

Bloon :The Maze

Bloon : Gold In My Head

Bloon : Wicked Game
(Chris Isaak Cover)

Johnny  Hallyday : I got a woman

 Contact :

Bloon :
https://www.facebook.com/bloon.sound/
bloon.contact@gmail.com
0629929596

 Kid Francescoli

https://www.facebook.com/kidfrancescoli/

celine@agauchedelalune.com , xavier@yotanka.net , olivier@alter-k.com , kidfrancescoli@gmail.com

 Temenik Electric

https://www.facebook.com/temenikelectric/

info@temenikelectric.com

http://www.temenikelectric.com/

 Les PodCast :

http://agoracotedazur.fr/category/loreille-qui-gratte/

 Les Videos :

Bloon :

–         
Spleen Exotique https://youtu.be/A8z1XLVNnJg

–         
The Maze https://youtu.be/Ve6Iscq73TU

–         
Gold In My Head https://youtu.be/xwNF5BCROIU

–         
Wicked Game (Chris Isaak Cover) https://youtu.be/a5iVLzVmTvs

–         
sur une ile
deserte
https://youtu.be/1OVZesbcpjc

–         
Session electro-acoustique
de Bloon https://youtu.be/pxsdKBdpJLc

 Les
Rubriques :

–           Album de la semaine : Pale Seas : Stargazing For Beginners https://youtu.be/Od2nry-a4G8

–           Autoproduction : Temenik electric https://youtu.be/VT1XynTFzuM

–           A venir : Kid Francescoli https://youtu.be/8dB79znwvIo

–           Les annonces de concert https://youtu.be/XfVIiWzw-nQ

–           L’Histoire du rock Hommage à Johnny https://youtu.be/ApGwIvS82sk

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# 722 Melchior Liboa

L’Oreille Qui Gratte # 722

Invité :  Melchior
Liboa

Album de la
semaine :
Fort Atlantic : Shadow Shaker

Le
Mardi 05 Décembre 2017

 Fort
Atlantic
: Shadow Shaker

Neil Young : Hitchhiker

Ashtray Service
:  
Girls Cars

Melchior Liboa :  l’amour est blessé

Melchior Liboa : Yougoslavie

Elton John :
Ballad Of A Well-Known Gun

Fort Atlantic : I Will Never Give Up on You

Melchior
Liboa :
Quand
les filles se dérobent

Melchior Liboa : Le chemin

Melchior Liboa : Yesterday is
here (Cover Tom  Waits)

Hubert Felix Thiefaine :  Les dingues et les paumés

Fort
Atlantic
:
Sleeping Giant

 Contact :

Melchior Liboa :

melchior.liboa@free.fr

06 80 22 26 20

 Ashtray Service
:  

www.facebook.com/pg/ashtrayservice

antoniros@hotmail.com

Les PodCast :

http://agoracotedazur.fr/category/loreille-qui-gratte/

 Les
Videos :

Melchior
Liboa

–     Yougoslavie   https://youtu.be/PilkbT8v0fo

–     Quand les filles se dérobent https://youtu.be/Oq_bO_yLl54


     Le chemin https://youtu.be/sPrVx0ucRpg

–      
Yesterday is here (Cover Tom  Waits) https://youtu.be/lfFHxPPmJcw

–      Session acoustique de Melchior Liboa https://youtu.be/Yky-iv2AW-s

  Les Rubriques :

–       Album
de la semaine : Fort Atlantic : Shadow Shaker https://tmblr.co/ZFA7bx2SmYq1v

–       Autoproduction :
Ashtray Service  https://tmblr.co/ZFA7bx2SmYwM7

–      
A venir : Elton John https://youtu.be/gE0xpWuRBZc

–       Les annonces
de concert
https://youtu.be/WCmd27narh8

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Ashtray Service

On le sait, les années 2000 auront connu un intérêt
grandissant pour le rock indé des années 70 et aussi l’electro allemande, la folk
psychédélique, l’indus, les drones et autres pratiques encore plus occultes.

À Marseille, un noyau de passionnés a pris les
choses en mains. De Oh! Tiger Mountain
à Kid Francescolli en passant par Nasser et Husbands, l’immersion est
totale.

C’est parfait pour accueillir Ashtray Service ce duo lo-fi
formé par Antoni (basse) et Christian(voix-
guitare). Depuis le siècle dernier (1999) leur pop-garage s’est enrichit, pour la 1ère fois en live en 2017, des huit
tentacules du batteur LPLPO,  (ex Mina May) On peut parler de power trio Krautrock
à situer entre l’Allemagne et notre Sud-Est…

Ashtray
Service
avait commencé à fixer son travail sur les bandes
d’un magnéto 4 pistes. La spontanéité et le goût de l’expérimentation ont donné
vie à plus d’une centaine de chansons à l’esthétique pop lo-fi dont seuls quelques privilégiés ont pu jusqu’ici écouter
l’intégralité.
Cette semaine nous fêterons la sortie d’une K7 en édition limitée sur le label Super Issue « Rock’n’Fuck’&Fuck’n’Roll
» est donc une compilation de 14 titres enregistrés entre Hamburg et la
Provence et paru en septembre dernier.

Les pistes ont été enregistrées en live à “la RUCHE” en août à La
Régie Culturelle Régionale, Bouc-Bel-Air
.
Cette K7 est accompagnée
d’un poster format A2 d’une représentation du duo par l’artiste P-G Baret.

https://vimeo.com/240531776

Ne les manquez pas à la Zonmé cette semaine

Gil Tau

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Fort Atlantic

C’est le projet actuel de Jon Black, un
auteur-compositeur-interprète bercé de rock garage, vivant à Birmingham (Alabama)

Huit ans après une
carrière musicale solo sous son propre nom sa musique ayant dépassé son projet de chanteur-compositeur isolé, et
après la dissolution de sa propre maison de disques, Black a commencé à
enregistrer des chansons sur son home studio avec un
contrat de distribution numérique avec Dualtone
Records
à Nashville où  Il a enregistré plus de 30 chansons. Le style de Black oscille pour l’écriture entre Jackson
Browne et Neil Young mais mélangé avec des atmosphères riches et des paysages
musicaux très denses.

Jon
Black sentant la nécessité d’une évolution,
a formé un groupe et sorti des disques avec FORT ATLANTIC en 2010-11

Là, ils ont
publié trois EP, après quoi Black a travaillé sur un album complet.

En 2012, Fort Atlantic toujours chez Dualtone Records a sorti un 1er
album éponyme. En plus des formats de CD et numérique, l’album a été également
édité en cartouche de Nintendo. Original, non ? Mais En
2015, le groupe a été brusquement viré par
leur label…

Le
groupe se compose de :

  Jon Black – chant ,synthés

  Gus Berry – guitares , claviers , voix

  Tim Coulter – Bass

  Evan Railton – Drum

Fort  Atlantic c’est la chaleur de l’analogique
et la folie du numérique avec une présence particulière que je qualifierai
d’atmosphérique. La
musique de Black continue de grandir et d’évoluer tandis que d’autres artistes
peuvent être condamnés à un genre pour toute leur carrière.

L’album Shadow Shaker vient
de paraitre (en octobre 2017) sur le nouveau
label du groupe Hot Garbage

A noter que la vidéo
de Bathed In Sunlight est une sélection officielle du Festival du film
indépendant de Philadelphie de 2018, et a été soumise pour une nomination aux
Grammy 2017.

https://www.youtube.com/watch?v=kBqWtdMpies

Gil Tau 

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#  721 Ulster Page

L’Oreille Qui Gratte # 721

Invité :  Ulster Page

Album de la semaine : The Fall : New fact emerge

Mardi 21 Novembre 2017

 The Fall :  Brillo de facto

The Fall : New fact emerge

Olaby :  Mouvant

Ulster Page : Straigt in the eye

Ulster Page : The end of line

Ulster Page : right as violence

The Wanton Bishops  : My kinda lovin’

The Verve : Blue

Ulster Page : Super Sonic  (Cover Oasis)

Ulster Page : Blue

AC-DC  : Have a Drink on Me

Contact :

Ulster Page

ulsterpage@gmail.com

www.facebook.com/UlsterPage

 Olaby
contact@olaby.fr
http://olaby.fr/
www.soundcloud.com/ola-by
www.facebook.com/oolaby
www.twitter.com/oolaby

Les PodCast :

http://agoracotedazur.fr/category/loreille-qui-gratte/

Les Videos :

Ulster Page

–      The end of line  https://youtu.be/9l6DV5Nlcw0

–     Right as violence https://youtu.be/dF0hTFTu9_M

–      Super Sonic  (Cover Oasis) https://youtu.be/Sz5G5QALdmE

–      Sur une ile déserte : https://youtu.be/tG6-dAvsx2w

–      Session acoustique d’Ulster Page : https://youtu.be/S0WZ6XhjsHE

Les Rubriques

–       Album de la semaine : The Fall : New Facts Emerge https://tmblr.co/ZFA7bx2SI3Xwv

–       Autoproduction : Olaby https://tmblr.co/ZFA7bx2SI4I1G

-A venir : The Wanton Bishops https://tmblr.co/ZFA7bx2SI3q8I

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Olaby

Olaby est le projet d’Ophélie Bayol.
Inspirée
par l’inde et le chant classique Hindustani, Ophélie chante dans le groupe
Chaar Masala, entre musiques traditionnelles indiennes et compositions
originales.
Mais elle est chanteuse dans des groupes aux sonorités trip hop comme Yuna
Project ou encore choriste avec Milenka sur leur tournée avec The Dø.
Poussée par le besoin d’exprimer ce qui vient d’elle même, elle se forme en à
la MAO et devient auteure compositrice de son projet solo Olaby.
Riche de ses influences artistiques et des collaborations passées sur scène elle
allie les arts numériques, et s’accompagne d’instruments électroniques
détournés ou inventés qui agissent en fonction des mouvements de sa chorégraphie.

Entourée de
ses machines aux effets très spéciaux, elle crée un univers dream pop electro.
Une aventure nouvelle qui tient autant par les mélodies de ses chansons, que
par une mise en scène originale : Olaby manipule notamment une
télécommande de jeu vidéo détournée en instrument qui enveloppe son chant
d’échos saturés. Sa voix étire des sonorités lointaines et contrastées où
ambiances nordiques et envolées indiennes se joignent nous donnant à vivre une
expérience sensorielle.

Accompagnée pour une année par La Tangente, Olaby
entre dans une phase de travail qui aboutira au printemps 2017 par la sortie de
son EP « Mouvant ».
Auparavant en solo, et jouant sur un univers plus intimiste et onirique, c’est
entourée de deux musiciens qu’Olaby souhaite désormais jouer et diffuser le
spectacle «Mouvant».  Plus produit et dense que son précédent EP,
«Mouvant» a ajouté les instruments (basse, synthé basse, guitare, SPD) qui  apportent une sonorité plus organique.
Cette première résidence technique aura mise en place le set live dans sa
dimension sonore, technique et artistique.

Ep 5 titres avec Lionnel
Buzac (Elephanz) sorti au Printemps 2017.


Gil Tau


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The Wanton Bishops

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En les écoutant, vous imaginez
les bords du Mississipi, les origines du blues et du rock… Vous repensez à
cette culture, magnifiquement décrite dans les livres de James Lee Burke avec son héros récurent : le taciturne sheriff
Dave
Robicheaux
, porté à l’écran par Bertrand Tavernier  « Dans la brume électrique » par
exemple…

Vous imaginez également la
Louisiane et l’ambiance dépeinte dans l’excellente série Américaine True
détective…(à voir ou revoir)

Et bien The Wanton Bishops
c’est un peu tout ça et ils imposent leur “blues garage” ces « évêques
débauchés » avec leur musique rocailleuse. Ils semblent tout droit sortis
du sud des USA après avoir longtemps croupi dans les bayous.

Et pourtant…et pourtant… pas
du tout : Nader et Eddy se doraient la pilule sous le soleil Libanais quand
ils se sont rencontrés dans un bar de Beyrouth ! Leur amour du blues et du
rock a fait le reste.

Nader, le type même du
bluesman hurlant. Ses influences vont de Muddy Waters aux Stones et il créé sa
musique emplie de ses riffs d’harmonicas gémissants, de chants bruts et de rock
n’ roll rythmé en tapant du pied.

Avec l’influence d’Eddy, au
son Rock plus classique, leurs  compositions
nous sont offertes, telles des esprits surgissant des marais et on s’en délecte.

The Wanton Bishops
maltraitent le blues comme Jon Spencer en son temps et surtout comme s’ils
étaient nés dans le delta du Mississippi et pas dans la plaine de la
Bekka.  

Ils ont assuré
les premières parties de Guns n’ Roses, Lana del Rey ou encore The
Who, et enchaînent les tournées dans le monde entier.

Après l’album de 2015 les voici
de retour avec un EP décapant, Nowhere everywhere. Leur tournée 2017
les a menés en Autriche, en France et au Magrheb.  Nader et Eddy sont d’attaque pour l’aventure
américaine…

Au fait…Vous en reprendrez bien
un peu ? C’est la Libanaise !

Alors ne les manquez pas à
Monaco le 30-11

Gil Tau

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The Fall : New Facts Emerge

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Et nous y
revoici. The Fall acte 32. Autant dire que ce
nouvel album ne fait pas dans la dentelle. C’est ce qui impressionne ici. On
prend les mêmes (depuis 10 ans) ou presque et on recommence. Sauf la
claviériste et épouse Elena Poulou qui est partie depuis un an

Smith a fêté ses 60 ans en mars, autant dire qu’au
régime où il est depuis l’adolescence, il n’a pas trop à s’inquiéter…Il
tient !  Les trois types qui
l’accompagnent restent donc Dave Spurr (basse), Pete
Greenway (guitare) et Keiron Melling (batterie). La
ligne musicale qui était apparue plutôt malléable et souple sur le précédent
album semble redevenue plus stricte, plus lourde. Smith fait un incroyable
boulot sur le son, déconstruisant les morceaux, les jouant à l’envers, au
ralenti, passant sa voix sous une série de filtres qui la positionne bien en
avant.

New Facts
Emerge est un album surprenant et en même temps répétitif et méthodique et
c’est un album beaucoup plus chouette que Sub Lingual Tablet de 2015.
C’est un album pour les amateurs de son, de vieilles musiques et de vieux chanteurs.
Ce n’est pas un disque hospitalier mais sa seconde moitié est le meilleur cours
d’histoire qu’on ait pris depuis un bail. Il nous fait réviser les classiques.
Le garage rock à la source originelle. L’endroit d’où tout le reste procède.

Mark
E. Smith vient donc de sortir son
trente-deuxième album, et se fiche bien de ceux qui ne l’aiment pas puisque qu’il
est probablement en train de préparer le prochain. On dit que c’est la music
punk qui l’a rencontrée et pas le contraire !

Mark
E. Smith n’en a que faire de ce que tu peux bien
penser de sa façon de chanter.

Mark
E. Smith pourrait être assez vieux maintenant
pour s’oublier sur scène.

Mark
E. Smith n’entrevoit toujours pas sa carrière
malgré ses quarante ans d’existence musicale.

Mark
E. Smith demande toujours à son bassiste de
jouer trop fort

Mark
E. Smith aime bien mélanger rock garage,
Post-Punk avec quelques moments un peu psychédéliques, il peut tout se
permettre.

Mark
E. Smith n’aime pas la bourgeoisie et cela à un
point où il en vient même à citer Jacques Brel sur le titre New
Facts Emerge.

Voilà c’est The Fall, 32eme édition… du lourd
donc !

Gil Tau

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Charles Bradley

Il aura ramé
Charles Bradley ! ! Il lui aura fallu quarante ans ans pour
enregistrer son premier album à plus de 60 ans et sortir enfin de l’ombre de
James Brown. Mais ses six années de gloire sur le tard, se sont achevées, à
68 ans – Charles Bradley est mort le 23 septembre dernier.

Je ne peux
m’empêcher d’avoir une pensée Sharon Jones dont j’avais parlé ici même et morte,
elle, il y a à peine 1 an, Au même titre que Charles, tous les deux, chanteurs
new-yorkais, elle participa au revival de la soul originelle – la vraie, celle
qui prie, pleure, galère, se révolte et transpire –

Bradley ;
Enfance miséreuse, analphabétisme, fugue à 14 ans, petits boulots puis pas
de boulot du tout, errances de ville en ville. Et puis là, en 1962, concert de
James Brown, à l’Apollo Theater (la prestation sera captée sur l’historique album
Live At The Apollo) Charles Bradley
envouté, voulait être « comme » James Brown, tout en restant lui-même
mais il eut bien du mal et se contenta longtemps de n’être qu’un sosie du
maitre…et resta dans l’anonymat.

Impulsé depuis une quinzaine d’années, le
label Daptone, animé à Brooklyn par des jeunes producteurs, fanatiques de son
analogique et de costards vintage, ont tiré Charles Bradley du néant.

Trois  albums sur Daptone, dont le dernier
bouleversant, Changes, en 2016  où il s’y
appropriait avec passion la ballade de Black Sabbath qui donne son titre au
disque !  Le succès fut international et
le public se pressait pour acclamer, sur scène, cet artiste aussi poignant
qu’exalté.

On a pu
l’applaudir à Nice à 2 reprises avec sa consœur Sharon Jones …on les voyait, en
France souvent sur les mêmes scènes. Lui avec son groupe The Menahan Street Band
et elle avec les Dap-kings qui ont
enregistré avec la grande Amy Winehouse. Dernière minute un magnifique album
(posthume) de Sharon Jones vient de sortir…comme un hommage.

Gil Tau

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# 720 Jef

L’Oreille Qui Gratte # 720

Invité :  Jef

Album de la semaine : Liam Gallagher : As you where

Le Mardi 7 Novembre 2017

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Liam Gallagher : You Better Run

Liam Gallagher : Bold

Syka James : l’Amour de soi

Jef : Je tarirai le doute

Jef : Gladiateur

Liam Gallagher : Greedy Soul

Dum Dum Boys

Isaac Gracie : The Death of You and I

Jef : À tire d’elle

Jef : À deux pas du seuil

Jef : La nuit je mens (Cover Alain Bashung)

Charles Bradley : How long

Liam Gallagher : Wall Of Glass

 

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Contact :

Jef

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Syka James

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Dum Dum Boys

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Les PodCast :

http://agoracotedazur.fr/category/loreille-qui-gratte/

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Les Videos :

Jef

–      Gladiateur   https://youtu.be/eS_bUUYTe80

–     À tire d’elle https://youtu.be/_GQRgLr3NnE

À deux pas du seuil
https://youtu.be/3wDaa0X2fG8

–      La nuit je mens (Cover Alain Bashung) https://youtu.be/hJ-6IoocNpA

–      Sur une ile déserte : https://youtu.be/lj2wpu4z_ks

–      Session acoustique de Jef https://youtu.be/aCjY51sJwDs

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  Les Rubriques

–         Hommage à Fofo (Dum Dum Boys) https://youtu.be/0l5ZfQcQoWM

–         Les annonces de concert : https://youtu.be/dAs2azIS2ao

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Liam Gallagher : As You Were

De 1993 à
2009 il y eu Oasis et ces purs moments de rock’n roll complètement barges !
Mais avec des hauts et des bas car Les frères Gallagher se crêpent éternellement le chignon. Et
ces deux frères ennemis se prirent  le
plus beau gadin de l’histoire du rock…jusqu’à leur séparation finale à
Rock en Seine-en 2009… C’est ça l’idéal rock : génial, triste,débile, démesuré.

En 2010.
Liam lança son groupe Beady Eye où il retrouva ses potes de la première heure mais,
deux albums plus tard, il y met fin par un simple tweet. Ce groupe ne fut donc qu’un
intermède lors de cette période post-Oasis

Tout ça pour
dire que le les apprécie tant qu’il m’est impossible d’être rationnel lorsque
sort un nouvel album estampillé Gallagher
(l’un ou l’autre !)

Il y 2 ans a
à peine je présentais l’album de Noel avec l’excellent Chasing Yesterday  dont je n’avais dit que du bien…en 2107 il y a
1mois l’album As You Were de Liam est donc le retour du
phoenix du rock.  A la fois apaisé et
fidèle à lui-même dans son obsession sixties « lennonesque » Sur ce
disque Liam joue aussi sur le terrain de Black Rebel Motorcycle Club pour le
côté brut avec une batterie très présente et des chœurs efficaces.

Un titre comme Paper Crown (une ballade acoustique très classique), est certainement la
meilleure depuis Oasis. Liam y a un timbre de voix parfait et une subtilité
qu’on lui connaissait peu. Les paroles rappelleraient  un «Like A Rolling Stone »,
version adoucie.

Il se
promène sur ses influences Beatles  et L’album
se termine par Universal Gleam sur le rythme de Give Peace A Chance

Ce que je n’avais pas prévu, c’est que le disque de Liam soit
encore meilleur que celui de Noel. Depuis quelques années, l’aîné de la fratrie
se complait dans son pré-carré et fait mumuse avec Bono. Tandis que depuis la
fin du groupe Beady
Eye, on pensait Liam Gallagher en retraite. Mais non,
et Liam peut d’ores et déjà remercier le centre de remise en forme qu’est la Warner,
sa nouvelle maison de disque. Liam Gallagher, qui a dû composer maxi 10 minutes de musique lors de
l’épopée Oasis (dont un classique de 2 minutes, Songbird) a
été envoyé au boulot en studio et le résultat est là : très très bon.

En 2017, on veut désormais voir Liam Gallagher en concert, vous
savez, ce mec qui avait le monde à ses pieds en 1995 et qui était le meilleur
chanteur du monde. Et ça tombe bien, puisqu’en 2017, il commence ses concerts à
l’heure et là, ça change vraiment

Gil Tau 

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# 719 Lone Redneck

L’Oreille Qui Gratte # 719

Invité :  Lone  Redneck

Album de la semaine : Trevor
Sensor  : Andy Warhol’s Dream

 Trevor Sensor : Lion’s Pride

Trevor Sensor : High beams

Marie Antoinette : Outta my mind

Trevor Sensor : on your side

Lone
Redneck :
I Want a Woman

Lone
Redneck :
Road To Dixie

Status Quo : Caroline

Jef : A deux
pas du seuil

Lone
Redneck :
The Outlaw

Lone Redneck : I sang Dixie (Cover Dwight Yoakam)

Lone
Redneck :
Redneck Girl

Lone
Redneck :
Tougher Than The Rest (Bruce Springsteen Cover)

The Doors : Roadhouse blues

Trevor Sensor : It wasn’good enought.

 Contact :

Lone
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Marie Antoinette :

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Videos :

Lone
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–        Road To Dixie https://youtu.be/SumnV0GGdA0

 –      
The Outlaw https://youtu.be/yVttOsdB0Q0

–  
      I sang Dixie
(Cover Dwight Yoakam) https://youtu.be/LhevBxrGEMk

–         Redneck Girl https://youtu.be/Ct8shJhKuFU

–         Tougher Than The Rest (Bruce
Springsteen Cover) https://youtu.be/pDJcjAwep7w

–         Lone
Redneck sur un ile déserte : https://youtu.be/WA_sY6Blfi0

–          Session
acoustique
de Lone Redneck https://youtu.be/q2VVyhCBuXE

  Les Rubriques

–         
Album de la semaine : Trevor Sensor
: Andy Warhol’s Dream https://tmblr.co/ZFA7bx2R6tHZc

–         
Autoproduction :  Jef https://youtu.be/YxcmyfkUCFo

–          A venir : Marie Antoinette https://youtu.be/Z7u-7D_xHeY

–         Les
annonces de concert : https://youtu.be/BK-uzvGm7n8

–         L’Histoire
du rock The Doors : Roadhouse blues https://youtu.be/gb28h1F94U8

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Trevor Sensor :  Andy Warhol’s Dream

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Dans le genre surdoué folk-rock, On avait eu Jake
Bugg ce jeune British qui faisait une folk moderne et très Dylanesque.
Aujourd’hui je vous présente Trevor Sensor, jeune américain de
23 ans qui a grandi dans l’Illinois. Cette terre du Midwest frappée par les
crises financières et industrielles.

La légende de Trevor
Sensor a commencé dans le petit bar d’une ville presque oubliée, à Pella, dans
l’Iowa… Par
hasard, le guitariste des Killers, (Dave Keuning), a enregistré Trevor Sensor
sur scène, et a décidé de le promouvoir. Un an plus
tard, après avoir sorti une paire d’EP et obtenu une tournée nationale,
l’artiste trouve un public impatient de la sortie de son premier album.
Les talents d’écriture ainsi que la voix au timbre guttural et vibrant de
Trevor Sensor, nous avait mis l’eau à la bouche, et là en 2017 il nous offre « Andy
Warhol’s Dream
 », sa chronique très personnelle de la haine ordinaire…

Dans ce décor, Trevor Sensor dessine sa
musique écorchée vive et bercée par le blues. Trevor c’est un peu une âme
adulte coincée dans un corps juvénile. Il observe, décrypte et analyse les
comportements humains. Sa voix saisissante s’empare de nous dès la première
seconde sans plus jamais nous lâcher. Il porte le poids de la détresse des
comptoirs de ces petits rades imprégnés de whiskies. Son chant nous va droit au
cœur, évoquant parfaitement les brumes qui s’étendent sur les terres
américaines qui l’ont vue naitre.

Chez Trevor Sensor, il y a ce quelque chose de
dangereux, de fantomatique et de beau. Il chante comme on se confie. Il chante
comme on s’étripe. Il chante comme si ses mots l’écorchaient. D’ailleurs,
Trevor Sensor le dit lui-même : « La sincérité façonne chacune de mes
paroles ». Etonnant compositeur qui, sur une embarcation d’une autre
époque (la folk), navigue sur les mots et les maux de la jeunesse contemporaine.

Gamin accaparé par ses personnages, visage
d’ange et voix cassée, il utilise dans ses textes toutes ses impressions et notes,
consignées dans un carnet déjà rongé par le temps. « Andy Warhol’s
Dream » est une merveille de folk-rock traditionnel et corrosif – Être
dans le vrai : son pari est risqué, mais gagnant sur toute la ligne !  
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Et même de
l’humour et du second degré ici

https://www.youtube.com/watch?v=SZ-WhVeYPHc

Gil Tau

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Sextille : Albeit Living

Au tout
début, Sextile c’était  Brady Keehn(guit), Melissa Scaduto(dr), Eddie
Wuebben(synth), désormais il y a un 4eme : Kenny Elkin (bass)

Sextile
décrit le son de leur groupe comme «post-punk primitif de l’espace extra-atmosphérique.»
rien que ça ! ! en tout cas « ça dépote bien ».

Désormais une
institution dans la scène alternative de Los Angeles, Sextile a gagné un fan en
ma personne.  Depuis sa création en 2015,
leur son révolutionnaire s’affranchissant des convention a su créer une signature
originale, combinant  l’énergie brute du  punk 70’ avec les éléments sophistiqués de  synth-wave .

La première
sortie de Sextile, A thousand hands,
avait un son très « dark R’n’roll » mâtiné de punk industriel. On
pourrait appeler ça du  post-punk avec un
fond d’énergie violente, parsemé de saturations  garage psychédélique.

Quand
Sextile est sur scène, les membres transmettent toute leur énergie, électrisant
la foule, parfois à la limite de l’émeute.

En 2017, Après
s’être enfermés dans un sous sol  pour
enregistrer pendant deux semaines, Sextile est de retour avec leur deuxième LP,
Albeit living.

Du début à
la fin, Albeit Living est un choc :
le synthé est au premier plan sur cet album, et domine plus puissamment que sur
le précédant opus . Malgré un son plus sophistiqué, Albeit Living passe très
bien sur scène où le groupe intensifie encore son  énergie durant les spectacles.

LP à dix titres
s’affirme comme une évolution forte et tandis qu’il redéfinit le son de Sextiles,
et la nouveauté réelle de l’album est la façon dont il transgresse les règles
des genres plus conventionnels de la musique et s’efforce de créer quelque
chose de vraiment unique.

L’album
démarre très fort, vous accrochant presque instantanément dans son orbite à  coup de uptempo  de la batterie, des synthé et de la reverb omniprésente
. Vous n’aurez aucun répit à l’écoute de ce disque.

Gil Tau 

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